Phonorama, le site dédié aux phonographes à cylindres

Etiquette de José Navarro à Madrid.

L'étiquette de cette boite de cylindre porte le nom de Luis Casarès, mécanicien à Grenade (Phonographes, cylindres enregistrés et vierges). C'est avec cet inventeur d'un dispositif de reproduction des cylindres par un procédé à base de pantographe que Pathé négocie l'installation d'une centaine de machines dans les ateliers de Chatou à partir de 1900. Les machines de Casarès pouvaient produire jusqu'à 6000 cylindres par jour.

Etiquette de la Sociedad Anónima Fonográfica à Madrid.

Etiquette d'une boite de cylindres Cilindros Fonograficos J. Oliva à Madrid.

Etiquette du Centro Fonografico Comercial Manuel Moreno Cases à Barcelone.

Cylindre du Cabinet phonographique Puerto y Novella à Valence. L'étiquette porte la photo du baryton Jesús Valiente, ainsi que la liste des cylindres de son répertoire.

Une seconde boite de cylindre du Cabinet phonographique Puerto y Novella à Valence. Comme tous les cabinets ou laboratoires phonographiques ayant vu le jour en Espagne aux alentours de 1900, cette maison ne vendait que des cylindres non dupliqués, c'est à dire enregistrés directement.

Etiquette d'une boite de cylindre du laboratoire phonographique Cabedo et Compagnie à Valence, voisine du Cabinet phonographique Puerto y Novella (Place Cajeros).
 

A Barcelone, l'opticien José Corrons fût l'un des acteurs notables de l'enregistrement des cylindres dans les premières années du 20^ème siècle. Il disposait d'un laboratoire phonographique rivalisant avec les principaux Gabinetes fonográficos de Madrid ou de Valence.
 

Boite de cylindre enregistré par José Corrons à Barcelone. Sur la face avant de la boite, l’étiquette mentionne : «Micrófono Corrons/Cilindro impresionado cientificamente con el Micrófono Corrons». Sur l'autre partie de l'étiquette, une note vante les qualités des cylindres de la marque.
 

Boite du cabinet phonographique Puerto y Novella à Valence.