Phonorama, le site dédié aux phonographes à cylindres

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Tubes acoustiques, écoutoirs et rampes [Page 1/2]

 


Accumulation de tubes auditifs, cornets, écoutoirs et autres accessoires acoustiques pour jouer ou enregistrer des cylindres. Avant la généralisation des pavillons, ils constituaient des éléments indispensables à tout possesseur d'un phonographe.
 

 
 
 


Tube d'enregistrement de type Edison, pour les premiers phonographes de la marque, doté d'un cornet en ébonite noire. Le tube souple est constitué par un ressort recouvert de caoutchouc et protégé par du tissu.
 

 
 
 


Tube d'enregistrement de type Columbia pour les premiers Graphophones. Il se distingue du tube pour phonographes Edison par son diamètre moins important et son cornet en laiton peint en noir.
 

 
 
 

Les premiers écoutoirs pour tubes auditifs de phonographes s'inspiraient naturellement de ceux déjà en usage dans les téléphones.
Bien que ne figurant pas dans le dictionnaire français, le terme écoutoir sera largement utilisé dans les catalogues de phonographes.

 
 
 

Ce type d'écoutoir primitif, constitué en laiton et cuivre, était utilisé sur les phonographes automatiques installés dans les lieux publics.

 
 
 

Tubes auditifs dotés d'écoutoirs en bois protégés par du tissu en laine.

 
 
 

Ecoutoirs très légers en celluloïd, nommés cuvette dans les premiers catalogues Pathé.

 
 

Les écoutoirs simples en ébonite, étaient vendus avant 1900 par tous les constructeurs avec un "Y" pour le raccordement des tubes en caoutchouc. Deux pièces cylindriques à emboiter, l'une en caoutchouc, l'autre en métal, permettaient de fixer le tube principal sur le chariot mobile portant le reproducteur.

 
 


Paire d'écoutoirs en ébonite de forme inhabituelle.
 

 
 
 


Les écoutoirs simples en bakélite, nommés «cure-oreilles» par les moqueurs et jugés peu hygiéniques ont été remplacés progressivement par des modèles de type téléphone, en bois, métal ou celluloïd.
 

 
 


Les premiers écoutoirs de type téléphone proposés par Pathé sont décrits comme suit dans le catalogue de 1898 : "Ecoutoir perfectionné genre téléphone. Ce modèle d'écoutoir remplace avantageusement les écoutoirs américains peu goûtés en Europe". 
Les plus anciens sont dotés d'une poignée en demi-cercle caractéristique et d'une bélière à anneau pour les accrocher.
 

 

 

Une autre paire d'écoutoirs Pathé en métal et bois. Ce modèle se différencie du précédent par la forme de la poignée et l'absence de la bélière à anneau.

 
 


Ce tube auditif en métal, figurant dans les premiers catalogues Pathé, est muni des écoutoirs perfectionnés genre téléphone.
Ils étaient principalement utilisés sur les phonographes automatiques à monnayeur installés dans les salons d'audition et les cafés où un usage intensif nécessitait un matériel solide.
 

 


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