- Pavillons Lioret
 | | Pavillon Lioret, droit à collerette, en tôle très fine, plissé et noir verni, articulé sur une fourche. Il s'agit là du premier pavillon flottant crée par Lioret pour équiper ses modèles n° 3, puis n° 2. Ce pavillon est équipé d'un poids en plomb destiné à éliminer les vibrations résultant de la faible épaisseur de la tôle (H = 40 cm, ∅ = 28 cm environ). |  | |  | | Pavillon droit Lioret en tôle strié longitudinalement et peint en noir. Ce pavillon flottant équipait les modèles A et B (H = 41 cm, ∅ = 20 cm environ). | | |  | | Pavillon Lioret plissé et son étui en carton couvert de tissu. Cette boite porte l'inscription Phonographes Lioret. Après 1899, les mêmes boites sont marquées Lioretgraph. | | |  | | Pavillon droit en aluminium poli crée par Lioret en 1898. On le trouve sur les phonographes construits après cette date : modèles n° 2, n° 3 et D à mouvement Eurêka. La plaque ovale du constructeur est rivée sur le corps du pavillon (H = 41 cm, ∅ = 29 cm environ). | | |  | | Le pavillon Lioret en aluminium et son étui en carton couvert de tissu, portant l'inscription Lioretgraph, signe d'un fabrication postérieure à 1899. Cet étui permettait également de ranger le reproducteur sans le séparer du pavillon. | | |  | | Pavillon conique Lioret en aluminium brossé. Ce pavillon flottant, démontable en deux parties tronconiques assemblées par des vis à ailettes, est réservé au Lioretgraph Eurêka à poids, le plus grand et le plus élaboré des phonographes construits par Henri Lioret (H = 76 cm, ∅= 36 cm environ). | | |  | | Le pavillon de l'Eurêka à poids, démonté avant son rangement dans la boite de transport en bois, avec l'arc et son support. | | |
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