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Etiquettes de cylindres Paul Rives.

Etiquettes de cylindres Paul Rives et Enregistrement Artistique Paris-Londres.

Cylindre Stentor de la maison Paul Rives à Paris
Les cylindres portant cette étiquette étaient enregistrés par Pathé pour le photographe Paul Rives, établi au 156-158 Rue de Rivoli Paris (1^er).

Cylindre de la maison Elie Mazo en cire claire.

Charlus et Maréchal avaient enregistré sur des cylindres de leur propre marque. Emile Mercadier ne pouvait être en reste, il a enregistré quelques cylindres dont les boites portent sa marque.
 

Boite de Cylindre Artistique Orlandi en cire brune.
L'Imprimerie-papeterie Orlandi, spécialisée dans l’impression  d’étiquettes commerciales, était située 2 Rue St Denis à Paris (1^er).

Cylindres en cire brune de l'Union Française de Vulgarisation (U.F. V.)

Cylindre F. Mariette en cire claire.

Etiquettes des cylindres de l'Union Artistique Française (pour la propagation par le phonographe des œuvres artistiques).

Cylindre en cire verte de la Société Française des Cylindres Artistiques. Cette société a déposé le 8 février 1900 une marque portant la mention Le Mégaphone / H. Sabathier, illustrée par une harpe entourée des lettres S et E et T-B. Le Mégaphone est un pavillon breveté inventé par Henri Sabathier, les initiales T-B sont celles du cofondateur de la société, M. Trespaillé-Barreau, vice-Président de l'Association des Concerts Lamoureux.

Etiquette de cylindres de la Société Française de Cylindres Artistiques.

Nouveaux cylindres BB et cylindres vierges G.K. (Gabriel Kaiser).

Cylindre Morel en cire noire moulée, d'origine Pathé.

Etiquette de cylindres Phénix. Ces cylindres de dimension non Standard (85 mm de diamètre au lieu de 95 pour les cylindres Inter) étaient vendus par Georges Maleville à Libourne. Cette marque a été déposée par la société de Louis Lamazière en 1903).

• Avant l'apparition des cylindres moulés en 1903, Elie Mazo commercialise des rouleaux obtenus «directement avec l'orchestre ou à la voix des artistes», autrement dit par enregistrement direct. Mais il propose aussi, à des prix inférieurs aux présents, des cylindres «de reproduction» c'est à dire reproduits par un procédé mécanique.
  Cette publicité parue dans sa revue Ombres et lumière de janvier 1903 nous permet d'interpréter la couleur des étiquettes collées sur les boites de cylindres. Les étiquettes jaunes (cylindres extra forts) ou bleues (forts) correspondent à des enregistrements directs, alors que le étiquettes vertes correspondent à des cylindres de reproduction.