Phonorama, le site dédié aux phonographes à cylindres

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Autres reproducteurs français [Page 4/10]



 

Avant d'être présentés dans de luxueux coffrets couleur grenat, les reproducteurs Le Cahit étaient vendus dans des boites à couvercle de même couleur.

 
 

Vue du diaphragme en mica et de l'araignée à dix pattes du reproducteur Le Merveilleux (∅ 55 mm).

 
 
 

Ce modèle de reproducteur Le Cahit, plus ancien que Le Merveilleux en ébonite, est en bois. Vendu par la Bonne Presse avec les premiers phonographes Idéal, ce reproducteur a été conçu par Charles Cahit.

 
 


Deux reproducteurs Le Cahit, le second porte la mention Bte, France et Etranger.

 
 
 


Deux coffrets pour reproducteur Le Cahit dit Le Merveilleux. Le second mentionne la médaille d'or obtenue à l'exposition de 1900. De 1900 à 1924, Charles Cahit, fabriquant de meubles à Crépy en Valois a déposé plusieurs brevets relatifs aux accessoires de phonographes.
 

 
 


Grâce à une bague en aluminium et un raccord en caoutchouc, le reproducteur Le Cahit peut se fixer au bout d'un pavillon flottant. Le raccord est similaire à celui des reproducteurs Pathé, mais il ne porte aucune marque.
 

 
 
 


Sur l'Idéal mixte (n°5), c'est un manchon en métal qui permet d'utiliser le reproducteur Le Cahit (Le Merveilleux) en bout du pavillon en aluminium pour la lecture des cylindres.

 

 
 
 


Le Soleil
est l'un des reproducteurs français les plus originaux. Il se caractérise par un bouton situé sur sa partie supérieure, permettant de régler le volume du son en modifiant la capacité de la chambre sonore. L'invention est due à la Société Perret et Lenglet (brevet n° 319709 du 18 mars 1902), qui a aussi déposé la marque Le Maestro.
 

 
 

Sous le diaphragme et le saphir du reproducteur à tonalité réglable Le Soleil, un disque en ébonite fait varier le volume de la chambre de résonance lorsque l'utilisateur tourne bouton (∅ 55 mm).

 



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A voir aussi
  • Le Cahit et La boite aux secrets

Cette notice relative au reproducteur Le Cahit explique comment recoller les griffes de l'araignée lorsqu'elles se sont détachées du diaphragme à la suite d'un choc.
Au verso, elle signale qu'en raison de sa grande taille, le reproducteur ne peut pas lire le début des cylindres sur "un nouveau Graphophone muni d'un cadran semi-circulaire servant à régler la vitesse de l'appareil" et livre la méthode pour résoudre cette difficulté.
Le Graphophone en question est La boite au secrets et plus précisément le modèle perfectionné 1900, proposé par la Maison de la Bonne Presse. Il s'agit de l'un des premiers phonographes dotés du régulateur de vitesse à curseur mobile inventé par Paul Féron-Vrau (Brevet n° 305.383 du 14 novembre 1900), par ailleurs directeur du célèbre établissement de la rue Bayard.

 

Notice relative au reproducteur Le Cahit.