Phonorama, le site dédié aux phonographes à cylindres

Les phonographes et les cylindres La Cigale de la maison Alart & Cie (carte postale, publicité, cylindre) : Page Vieux papiers/La vulgarisation du phonographe (Page 2/3)

L'Idéal de Lioret et son cylindre géant : Page Les cylindres/Americains et de divers pays/Les cylindres géants (Page 3/4)

Catalogue Georges Mendel de 1902 (Le Cyrano, Le Cicéron, L'Aigle-géant, Le tonnerre) : Page Catalogues et notices/Catalogues divers/Marques françaises (Page 2/2)

Un pavillon en aluminium de type Bettini d'origine britannique, destiné à être associé à un micro-reproducteur Bettini Type C 
ou N, et sa boite de rangement : Page Pavillons/Pavillons Bettini

Un Lioret n° 2 Bis transformé présenté dans son coffret de rangement avec ses accessoires et son pavillon.
NB : Selon la notice éditée par Lioret en 1898, le modèle n° 2 Bis  transformé désigne le n° 2 équipé d'un pavillon plissé noir en tôle et d'un reproducteur en laiton nickelé.

Page Phonographes remarquables/Phonographes Lioret (Page 2/4)

Il se prénommait Edouard
 !

En 1878, la presse quotidienne, les revues scientifiques, les annuaires et les publicités citaient le nom "E. Hardy", Ingénieur-électricien ou mécanicien, constructeur du phonographe Edison présenté à l’Exposition Universelle de Paris. Plus de cent ans après, il est communément admis que l'ingénieur portait le prénom Edme.


Un entrefilet annonçant le décès, en 1899, d'un ingénieur nommé Edouard Hardy m'a récemment conduit à des recherches sur ce nom. Il est alors apparu que E. Hardy se prénommait en réalité Edouard, comme le confirment divers documents de la fin du 19 ^ème siècle.
Il semble que la méprise sur le prénom s'est propagée depuis 1986, après la publication aux Etat-Unis d'un mémoire universitaire évoquant à plusieurs reprises Edme Hardy. Par la suite, de nombreux écrits, dont les miens, ont perpétué l'erreur.
Vous pourrez découvrir de nouvelles informations sur ce constructeur méconnu :

• qui était Edouard Hardy ? sur cette page
• les phonographes qu'il a construits : Page Phonographes remarquables/Phonographes à feuille d'étain (Page 1/4)

Un tinfoil en laiton d'origine britannique, destiné à un usage didactique pour le laboratoire de physique d'une école  : Page Phonographes remarquables/Phonographes à feuille d'étain (Page 4/4)

L'enregistrement sonore, un film de Jean Clouzot (1960) : des extraits à découvrir  Page Enregistrement des cylindres/Techniques d'enregistrement (A voir aussi Page 1/2)

un tinfoil français à grand cornet de construction artisanale : Page Phonographes remarquables/Phonographes à feuille d'étain (Page 4/4)

un cylindre suédois de la marque And. Skogk à Göteborg : Cylindres européens/Autres cylindres européens (Page 1/3)

Les phonographes à feuille d'étain construits par Eugène Ducretet : Page Phonographes remarquables/Phonographes à feuille d'étain (Page 3/4) :

• modèles, essai de datation
• le phonographe de Louis de Saint-loup
  
• différenciation avec les phonographes de Fondain

Les ingénieurs Achille Loiseau et Léonce de Combettes sont-ils les constructeurs d'un petit phonographe à feuille d'étain pour les enfants ? : Page Phonographes remarquables/Phonographes à feuille d'étain (Page 4/4)